Programme PLR.Les Libéraux-Radicaux Valais

Pourquoi voter PLR.Les Libéraux-Radicaux Valais?

1. Economie

Notre canton a besoin d'une économie prospère, qui crée des emplois pour tous maintenant et demain. Il est temps d’innover et de créer également des emplois à forte valeur ajoutée. Depuis plusieurs années, la croissance économique du Valais est grippée et largement inférieure à la moyenne suisse : le revenu par habitant est relativement modeste, l'écart se creuse entre les moyens des Valaisans et ceux de nos Confédérés.

Le PLR propose de valoriser et la gestion et la promotion économiques publiques du canton. Il est nécessaire d’instaurer des conditions-cadre de qualité avec un taux d'imposition meilleur que celui des autres cantons – grâce à la réforme RIE III – et d'assurer des infrastructures de qualité (transports, crèches, télécommunications). Partout, et à l’Etat aussi dans tous ses départements, il est possible d'insuffler un esprit d'entrepreneur et d’offrir aux citoyens un service et des prestations de qualité et de proximité.

 

2. Finances

Une gestion saine et responsable des finances cantonales est la base essentielle pour assurer une place économique stable et un futur prospère en Valais. Depuis des années, nous sommes à l'équilibre grâce à la péréquation financière, et non grâce à notre travail, ni nos compétences. Le Valais doit gagner son indépendance financière afin de faire valoir ses atouts pour les Valaisans et pour tous ceux qui le visitent.

Avoir des finances saines nous permet également d’éviter de transmettre des dettes aux prochaines générations.

 

 

3.Territoire

Le PLR continue à s’engager pour le droit à la propriété. En cela la loi cantonale soumise au vote en mai 2017 est décisive : elle permettra d’assouplir au maximum les effets néfastes de la loi fédérale et la perte d’autonomie subie par le canton dans sa gestion territoriale, notamment avec l’acceptation de la LAT en 2013.

Le PLR continue à se battre pour défendre les intérêts des nombreux propriétaires valaisans.

 

 

4. Formation

Un système de formation qui prépare les jeunes pour le futur et qui répond aux besoins de la société moderne est essentiel pour la prospérité du Valais. La formation valaisanne doit assurer une structure dans laquelle chacun peut trouver sa place et chacun reçoit le soutien dont il a besoin. Tout en tenant compte du bilinguisme du canton, la scolarité obligatoire doit (au-delà des compétences de base), inculquer à la jeunesse les valeurs de responsabilité et d’autonomie et les préparer pour la suite.

La formation secondaire doit permettre à chacun de trouver sa place dans la vie professionnelle en offrant un maximum de possibilités.

Il importe également de favoriser la formation continue sous toutes ses formes, afin d’accompagner les besoins nouveaux de formation ou de perfectionnement et de permettre à chacun de travailler dans sa région.

 

 

5. Solidarité

Le PLR œuvre pour une égalité des chances et des opportunités. Néanmoins, dans certaines situations particulières, une aide ponctuelle peut s’avérer nécessaire. Dans ces cas-là, il importe de faciliter un retour à la normale en instaurant – de manière adéquate – les moyens et mesures qui contribueront à une réintégration rapide dans le monde du travail.

La politique valaisanne se doit de gérer sainement ses ressources financières, également dans le domaine social, en venant en aide à ceux qui en ont véritablement besoin.

 

 

6. Santé

Le Valais a besoin de rattraper son retard en instaurant un système de santé efficace qui soit proche de la population. Le PLR propose un hôpital fort qui profite à toute la population installée en Valais. Cela est possible grâce à une meilleure collaboration : entre l'Hôpital du Valais et les hôpitaux universitaires, entre le privé et le public, ainsi qu’au sein du Chablais. Le PLR souhaite également inciter activement le développement de Maisons de santé afin d’assurer des soins de proximité et de désengorger les urgences.

Pour rappel, Le PLR a été l'un des initiateurs des réformes du système de santé. Aujourd’hui, il veut restaurer un climat de confiance entre le citoyen et son hôpital.